Année 17, conférence d’André Markowicz

« Il y a ce géant, Vladimir Maïakovski, qui, dans ses premiers chefs-d’œuvre, casse tous les codes de la poésie russe, brise les rythmes réguliers, trouve, en le détruisant, un chant entièrement nouveau et fait jaillir l’énergie brute de chaque mot, dans une violence géniale et destructrice. Et il y a cette révolution dans laquelle il se lance à corps perdu [...] »